Saison 2022/2023
- Thomas Cannariato
et Madlyn Farjot - Etienne Coquerot
- Melchior Delaunay
- Maurici Macian-Colet
- Hervé Sika
- Pauline Tremblay
- Jeanne Alechinsky
- Rebecca Journo
- Laurent Colomb
- Simon Pitaqaj
- Gilles Sampieri - Création 2023
Animal Manager - Gilles Sampieri - Reprise
Les murs sauvages - Michael Ghent
et Street Level Industries - Tom Politano
et Myrtille Bordier - Guillermo Pisani
- Sarah Oppenheim
et Fany Mary - Rebecca Journo - création 2023
et Véronique Lemonnier - Thibaut Ras
Les Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine-Saint-Denis
LES RENCONTRES CHORÉGRAPHIQUES INTERNATIONALES DE SEINE-SAINT-DENIS
1 sortie de résidence / 1 film
- Festival défricheur dédié aux écritures chorégraphiques contemporaines, les Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis présentent des œuvres portant un regard aigu et poétique, un questionnement constant sur notre monde.
Les origines du festival remontent en 1969. Jaque Chaurand, un ancien danseur, crée un concours chorégraphique pour la nouvelle danse, alors appelé Les Ballets pour Demain qui se déroulait à Bagnolet. C'est la naissance du Concours de Bagnolet. Dominique Bagouet, Jean-Claude Gallotta, Karine Saporta, Maguy Marin, Dominique Boivin, Régine Chopinot, François Verret, puis Catherine Diverrès, Bernardo Montet, Mark Tompkins, Mathilde Monnier, Angelin Preljocaj, Odile Duboc... se font remarquer pendant ces années, entre 1976 et 1985. En 1988, le concours prend une nouvelle envergure, internationale, sous l'impulsion de Lorrina Niclas qui dirige alors ce qu’on appellera le CIBOC, le Centre International de Bagnolet pour les Œuvres Chorégraphiques. En 1995, le Concours est rebaptisé Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis et se déroule tous les deux ans à la MC93 de Bobigny. A partir de 2002, Anita Mathieu prend la direction des Rencontres et transforme le concours en festival. Le rythme devient annuel à partir de 2003. Frédérique Latu a été nommée directrice des Rencontres chorégraphiques internationales de Seine-Saint-Denis en 2021. Elle était jusqu'alors directrice déléguée de L’échangeur-CDCN Hauts-de-France.
Renseignements et réservations
SORTIE DE RÉSIDENCE / Le 26 mai 2023 à 19h
Présenté en première partie de soirée
DUO – 45 minutes
En se nommant Les Amours de la Pieuvre , le projet repose sur la construction et la force d’une relation. L’empathie et le mimétisme s’utilisent à la recherche d’un fonctionnement commun, où deux corps deviennent indissociables et cherchent à faire naître cette entité pieuvre. La pièce se conçoit comme une sculpture vivante évoluant dans un espace où les interprètes et les spectateur·rice·s sont placé·e·s au même plan. Intéressée par le rapport de proximité avec le·la spectateur·rice, l’artiste envisage une mise en espace qui permette d’avoir accès à l’intimité de ce qu’il se passe à l’intérieur du corps ainsi que qu’entre les deux corps. Elle poursuit cette démarche qui expérimente un rapport avec le spectateur qui va au-delà des rapports bilatéraux entre plateau et public, entre acteur·rice et spectateur·rice.
Production La Pieuvre
Coproduction théâtre Le Colombier (Bagnolet-93) et le Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis
Soutiens L'échangeur - CDCN Hauts-de-France, KLAP - Maison pour la danse, Micandanses, Les Rencontre Chorégraphiques Internationales de Seine-Saint-Denis, Laboratoire Chorégraphique de Reims, La Fileuse Friche artistique de Reims
Partenaires Ministère de la Culture - DRAC Île-de-France - aide au projet, Région Île-de-France, Département de la Seine Saint Denis, Caisse des Dépôts
FILM INÉDIT / Le 26 mai 2023 à 21h
Présenté en deuxième partie de soirée
Film – 45 minutes
Dans un lieu singulier Thibaut Ras convie un musicien et un danseur ou un comédien et un danseur pour créer ensemble une performance singulière. Créée sur la base d’une improvisation entre les deux artistes cette performance instaure un dialogue spontané, riche et puissant entre musique, paroles et danse. Les parties improvisées se déroulent, le danseur suit les impulsions, explore l’espace. Ils interagissent, modifient leurs improvisations aux variations et accents de chacun. Ils composent, la caméra accompagne, écoute, anticipe et capture. Une sorte d’alchimie urbaine.